mercredi 30 novembre 2011
samedi 26 novembre 2011
Reprenons. Donc si, si vous voulez, quand je veux aller chez quelqu'un de la famille ou des amis, je demande, je me débrouille et j'apprécie.
Noémie aussi, mais elle finit systématiquement par se brouiller avec les gens.
Il y a les gens chez qui elle ne veut plus aller, et ceux qui ne veulent plus la voir, qu'elle bombarde de coups de téléphone ou de mails, à un point qui en devient incroyable. Au bout d'un moment elle finit par noter que bien qu'elle les ait harcelé ils ne répondent pas et elle se fache et ne fait plus d'efforts pour se voir.
Voilà comment elle se retrouve seule (et elle est totalement seule, je peux le certifier) alors que moi, "tout le monde est toujours là pour moi".
Donc d'une certaine façon elle n'a pas tort ; sauf qu'il faut préciser que cela tient à son comportement.
Ce qui revient à se fàcher avec elle si on lui dit en face.
Et je n'aime pas les facheries ou disputes, surtout avec elle qui est si violente et si mauvaise, agressive, blessante, quand elle est fachée.
Voilà pourquoi il faudrait que j'éprouve le même détachement que devant ma tante Carine.
Sauf que je n'ai pas à me forcer pour Carine, pas du tout.
Alors que j'ai à me forcer, ce'st là où je voulais en venir, pour Noémie.
je veux me détacher et je suis accrochée.
Mon esprit veut mais mon coeur, mon corps, quelque chose de plus fort que moi reste lié à ça.
A elle.
Et ça c'est pénible.
Noémie aussi, mais elle finit systématiquement par se brouiller avec les gens.
Il y a les gens chez qui elle ne veut plus aller, et ceux qui ne veulent plus la voir, qu'elle bombarde de coups de téléphone ou de mails, à un point qui en devient incroyable. Au bout d'un moment elle finit par noter que bien qu'elle les ait harcelé ils ne répondent pas et elle se fache et ne fait plus d'efforts pour se voir.
Voilà comment elle se retrouve seule (et elle est totalement seule, je peux le certifier) alors que moi, "tout le monde est toujours là pour moi".
Donc d'une certaine façon elle n'a pas tort ; sauf qu'il faut préciser que cela tient à son comportement.
Ce qui revient à se fàcher avec elle si on lui dit en face.
Et je n'aime pas les facheries ou disputes, surtout avec elle qui est si violente et si mauvaise, agressive, blessante, quand elle est fachée.
Voilà pourquoi il faudrait que j'éprouve le même détachement que devant ma tante Carine.
Sauf que je n'ai pas à me forcer pour Carine, pas du tout.
Alors que j'ai à me forcer, ce'st là où je voulais en venir, pour Noémie.
je veux me détacher et je suis accrochée.
Mon esprit veut mais mon coeur, mon corps, quelque chose de plus fort que moi reste lié à ça.
A elle.
Et ça c'est pénible.
jeudi 17 novembre 2011
Voilà ce qui s'est passé,
J'ai eu vent de ce que Noémie pensait que tout le monde avait toujours "été là pour moi".
Entendons : quand je passais mes examens, tout le monde était là, me soutenait et m'invitait - en fait, je ne sais pas trop ce à quoi elle pense en disant cela.
Quand je cherchais du boulot aussi.
Pour les enfants pareil.
Il y aurait beaucoup à dire sur le sujet. Si je voulais me justifier. Quand j'ai entendu ce qu'elle disait, ça m'a donné envie de me justifier, justement.
mais non, j'ai toujours révisé seule, personne ne m'a préparé des repas ou invité.
Attends, un exemple.
Il y a quelques mois, elle raconte à un tiers que je vais quand je vais chez Beate quand je veux, elle m'invite tout le temps, du coup cela me procure un délassement parfait, alors qu'elle Noémie, n'y est pas conviée.
Je raconte ça à Beate et lui suggère d'inviter Noémie. Beate me fait remarquer fort justement que je ne vais pas chez elle quand je veux parce que je suis toujours invitée, mais que je lui fais le plaisir de lui réclamer sans cesse d'aller chez elle (pour Beate c'est un plaisir) alors que Noémie ne demande jamais (et donc Beate en déduit qu'elle n'a pas envie de venir). Une fois chez elle, nous déjeunons et je lis des bouquins de sa bibliothèque, dans son salon qui donne sur une jolie terrasse. Oui, j'adore et ça me délasse.
- Je croyais aussi, dis-je, mais en fait elle a envie.
Qu 'à cela ne tienne : Beat invite formellement ou quasi Noémie.
Qui vient.
Et qui, de retour, se plaint.
Beate lui avait préparé un repas, mais Noémie n'a pas aimé le repas et n'a rien mangé. Beate voulait parler avec elle mais Noémie ne voulait pas parler. Beate lui a proposé de lire mais que croyait-elle ? Que Noémie avait envie de lire ? Erreur. Noémie veut juste aller chez Beate et après peut-être un peu de télé et c'est tout. Alors que Beate a visiblement un programme tout près pour elle, tout préparé, qui ne convient pas à Noémie.
Résultat : Noémie ne retourne plus chez l'infernale Beate qui l'invite, lui prépare un repas, lui fait la conversation. C'est trop insupportable.
C'est un exemple de personne (Beate) qui a "toujours été là pour moi". C'est comme cela que je suis toujours entourée. Et c0est comment elle réagit quand on agit de même. Le plus beau, c'est que c'est Noémie qui se refuse à aller chez Beate, et non Beate qui refuse à Noémie de l'inviter.
Bon, je continue plus tard, je suis dead....
J'ai eu vent de ce que Noémie pensait que tout le monde avait toujours "été là pour moi".
Entendons : quand je passais mes examens, tout le monde était là, me soutenait et m'invitait - en fait, je ne sais pas trop ce à quoi elle pense en disant cela.
Quand je cherchais du boulot aussi.
Pour les enfants pareil.
Il y aurait beaucoup à dire sur le sujet. Si je voulais me justifier. Quand j'ai entendu ce qu'elle disait, ça m'a donné envie de me justifier, justement.
mais non, j'ai toujours révisé seule, personne ne m'a préparé des repas ou invité.
Attends, un exemple.
Il y a quelques mois, elle raconte à un tiers que je vais quand je vais chez Beate quand je veux, elle m'invite tout le temps, du coup cela me procure un délassement parfait, alors qu'elle Noémie, n'y est pas conviée.
Je raconte ça à Beate et lui suggère d'inviter Noémie. Beate me fait remarquer fort justement que je ne vais pas chez elle quand je veux parce que je suis toujours invitée, mais que je lui fais le plaisir de lui réclamer sans cesse d'aller chez elle (pour Beate c'est un plaisir) alors que Noémie ne demande jamais (et donc Beate en déduit qu'elle n'a pas envie de venir). Une fois chez elle, nous déjeunons et je lis des bouquins de sa bibliothèque, dans son salon qui donne sur une jolie terrasse. Oui, j'adore et ça me délasse.
- Je croyais aussi, dis-je, mais en fait elle a envie.
Qu 'à cela ne tienne : Beat invite formellement ou quasi Noémie.
Qui vient.
Et qui, de retour, se plaint.
Beate lui avait préparé un repas, mais Noémie n'a pas aimé le repas et n'a rien mangé. Beate voulait parler avec elle mais Noémie ne voulait pas parler. Beate lui a proposé de lire mais que croyait-elle ? Que Noémie avait envie de lire ? Erreur. Noémie veut juste aller chez Beate et après peut-être un peu de télé et c'est tout. Alors que Beate a visiblement un programme tout près pour elle, tout préparé, qui ne convient pas à Noémie.
Résultat : Noémie ne retourne plus chez l'infernale Beate qui l'invite, lui prépare un repas, lui fait la conversation. C'est trop insupportable.
C'est un exemple de personne (Beate) qui a "toujours été là pour moi". C'est comme cela que je suis toujours entourée. Et c0est comment elle réagit quand on agit de même. Le plus beau, c'est que c'est Noémie qui se refuse à aller chez Beate, et non Beate qui refuse à Noémie de l'inviter.
Bon, je continue plus tard, je suis dead....
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