vendredi 24 septembre 2010

Projets

Quand nous étions enfants, nous ne faisions jamais rien, ne rendions visite à personne. C'est ainsi que nous avons été élevée, et, plus tard, lorsque je faisais des allusions à mes amis et à ma vie, cela semblait toujours très "excité", "agité" à mes parents, comme si avoir une vie sociale était une preuve d'instabilité mentale.

Il est donc, finalement, et bien que je n'y aie pensé que tardivement, facile d'utiliser cef ait contre ceux que je ne veux pas voir, pas trop : il suffit de feindre de n'avoir que peu ou pas de vie sociale, et dans le cadre de cette vie tranquille que nous menons (comme eux), ne pas suggérer de rapprochement - qu'ils ne suggèrent pas non plus. Ainsi, il n'est jamais vraiment question de se voir, et cela ne pose pas trop de souci.

Pour les fêtes, je songe ainsi à m'organiser en feignant de ne pas passer du tout, du moins cette année. J'évoque des limitations financières, et voilà.

lundi 20 septembre 2010

Rien à voir mais je lis ça et je trouve ça fou quand même  !
On vit dans un monde de ouf.

jeudi 9 septembre 2010

Ce que je voudrais, au fond, c'est avoir à qui parler, à qui parler, VRAIMENT. Car certes je connais des gens, j'en connais même pas mal, mais communiquer avec eux n'est pas simple : il y a tant à ne pas dire. Ne pas dire pour ne pas provoquer des questions, ou aborder des sujets qui m'ennuient : exemple : si je n'aime pas mes collègues, je préfère nettement ne pas du tout parler d'eaux plutôt que ressasser leurs défauts. Et certains, parce que je fais quelques confidences, veulent me donner de bons conseils, me suggérer telle ou telle attitude, et cela m'ennuie : j'ai parfois envie de parler, sans plus.


Une amie à qui je parlais du village de ma grand mère m'a suggéré google map pour le retrouver. Je sais bien , mais sous prétexte que Google map existe, dois-je me mettre en quête de ce village actuel ? Alors que c'est le passé qui me manque ?

Il y a trop de choses que les gens ne comprennent pas.

dimanche 5 septembre 2010

Mon retour de vacances se caractérise par tant de mini choses à faire que je suis débordée.

J'ai horreur de ça.


Mais il faut faire face.

Bouh...