dimanche 4 mars 2012

samedi 4 février 2012

Mon horrible et détestable belle mère, que je ne sais plus par quel bout prendre, je viens de lui envoyer un mail, histoire qu'on ne puisse pas dire que je ne lui écris jamais. Il y a des moments où je me dis que je devrais lui écrire tous les jours ou toutes les semaines pour lui dire trois fois rien, j'ai acheté des patates et fait de la purée, on est allé acheté un pantalon aux filles. Serait-elle contente ? Je ne sais.

C'estle principe d'écrire pour qu'elle ne râle plus trop qui me déplait à vrai dire. Quelle hypocrisie ! Surtout que ça ne marche qu'à moitié. Elle ne me reproche pas de ne pas lui écrire, ce serait impossible. Mais elle me fait la gueule tout de même.

mercredi 11 janvier 2012

J'ai longtemps pensé à Jessi, très longtemps. Je commence tout jsute à ne plus trop penser à elle. C'est à dire qu'en dehors des moments, rares, où je réfléchis volontairement à elle, je n'y pense plus.

Mais quand j'y pense, je cherche à me mettre à sa place et à la comprendre.

Je pense qu'elle se croit douée d'un feeling spécial, qu'elle a, d'une certaine, façon, pour comprendre les gens. En fait elle perçoit beaucoup de choses, ça c'est exact, mais c'est au niveau de l'interprétation que cela pose problème.

Elle interprète toujours de la même façon, sous l'angle de la maternité sacrée et de la religion. Quel angle ! Au fond, je me refusais à voir en elle une femme obtue, peut-être, dur este, ne l'était-elle pas et l'est-elle devenue au fil du temps...